Lorsqu’on
parle écosystème aujourd'hui, on a souvent tendance à virer au rouge. C’est
pourquoi certains photographes veulent nous faire virer au vert. Cela grâce au Festival international Nature de Namur. En effet, chaque année, la ville de
Namur accueille de nombreux photographes et réalisateurs vidéos pour exposer, aux yeux de tous, des photos et des reportages sur les merveilles naturelles du
monde. Plus de quarante expositions intérieures et extérieures sont réparties à
l’Acinapolis du 14 au 23 octobre, mais également à la célèbre Citadelle de Namur
du 20 au 23 octobre.
L’Acinapolis est habituellement un lieu où l’on se rend pour voir des films ou faire
quelconques activités, mais le cinéma s’est transformé à partir de ce 14
octobre en un paradis naturel qui nous donne une impression d’état sauvage où
règne une ambiance forestière. C'est en partie grâce aux installations audios,
aux cascades, aux plantes... mises en place qui nous donnent l’impression que nous nous trouvons parmi les animaux.
Être friand
de nature n’est pas forcément une compétence requise pour apprécier cette
exposition. C’est un événement culturel qui nous concerne tous et qui peut nous
ouvrir les yeux sur la beauté de notre monde. L’ambiance et la qualité
incroyable des photos nous font réellement voyager. En plus de cela, la bonne
humeur et le dévouement des artistes photographes qui se trouvent sur place
pour répondre à nos questions sont des éléments qui font que l’exposition est
très agréable pour toute personne qui se laisse porter par l’ambiance.
L’exposition Nature de Namur est un événement qui a une portée culturelle sur chacun qui s’y
arrête. Tout comme les autres courants artistiques, cette exposition donne la
chance aux photographes de faire passer un message grâce à leurs œuvres. Tous
ces artistes ont le même but commun : l’envie de montrer la beauté du
monde sous plusieurs clichés et donc de rendre compte au public qu’il est grand
temps de changer sa façon de se comporter pour tenter de préserver notre monde. C’est une
séance qu’il ne faut pas manquer !
Manu Gomez Melero, 6G
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